Les angoisses

« LES ANGOISSES »

le 11 mai 2023 » PARIS

Issac SALEM

De quelle type d’angoisse souffrons-nous ?

Pourquoi les moments de bonheur sont-ils si difficiles à vivre ?

Comment faire face à un surmoi qui devient cruel avec le moi ? Comment adoucir le surmoi pour le rendre sévère mais protecteur ?

Sommes nous en capacité d’en parler ou trop débordés pour accéder à la représentation et nous permettre d’en parler ?

D’autres outils peuvent être proposés comme le psychodrame psychanalytique de groupe ou la psychanalyse corporelle pour jouer à représenter les scènes traumatiques ou les contours de nos limites corporelles.

C’est lorsque la parole advient que nous pouvons enfin voir quel type d’angoisse se dessine.

L’angoisse névrotique relève d’un conflit alors que l’angoisse psychotique relève d’une agonie souvent primitive, lorsque le bébé vit l’absence de la mère et qu’il ne peut se la représenter. Le clivage advient et doit tenir pour lutter contre l’effondrement.

Nous devons accompagner le sujet angoissé pour recueillir ses débordements, les digérer et pouvoir les lui restituer en quelque chose de plus supportable à vivre. Nous devenons l’objet d’amour qui n’a pas été présent à une période de vie infantile primordiale au sujet.